L'économie transforme le monde, mais le transforme seulement en monde de l'économie. Guy Debord
La modernité est née il y a environ cinq siècles d’un processus d’abstraction qui s’est diffusé progressivement à tous les aspects de la nature humaine : conscience, culture et société. Dans le domaine de la conscience, ce processus d’abstraction a promu une rationalité qui, au cours du temps, va dégénérer en réductionnisme et en scientisme alors que, dans le domaine de la culture, il affirma l'universalité des droits de l'homme tout en générant l’individualisme et le nihilisme. Au niveau social, ce processus a été le vecteur de valeurs démocratiques tout en réduisant progressivement les rapports sociaux à des échanges marchands.
Alors que nous abordons un autre cycle évolutif - l’ère de l’information - on assiste non seulement à l'effondrement du paradigme abstrait de la modernité à travers de nombreuses crises mais aussi à l'émergence d'un nouveau paradigme fondée sur l'idée de complexité selon laquelle "tout est lié". Les séparations abstraites issues de l'ancien paradigme sont incapables de développer la vision globale et intégrée propre à cette complexité. C'est ainsi qu'aujourd'hui une véritable insurrection des consciences s'érige contre l'hégémonie de l'abstraction en refusant la réduction de l’être humain à des mécanismes (biologiques, cérébraux ou économiques) comme elle refuse d’identifier la connaissance à une science abstraite fondée sur le déni de la vie et de la sensibilité.
Le capitalisme apparaît ainsi comme l’expression sociale de cette abstraction sous la forme de ce que Marx nomme le fétichisme de la marchandise qui remplace la dimension éthique, symbolique et qualitative des rapports humains par la dimension économique, mécanique et quantitative des échanges marchands. C’est dans le contexte de cette insurrection des consciences que nous nous intéressons au dépassement d’une (dé-)socialisation capitaliste qui inspire ces temps-ci de nombreuses réflexions sur la décroissance et la « sortie de l’économie ». En Janvier 2014, dans le cadre du "café décroissant" organisé à Bourges par les Décroisseurs Berrichons, nous avons assisté à une conférence où deux membres du collectif Quelques ennemis du meilleur des mondes présentait Sortir de l'économie, un ouvrage qui propose une sélection de textes parus dans la revue éponyme dont les quatre numéros conçus depuis 2007 sont disponibles en ligne.
Nous vous proposons ci-dessous le compte-rendu de cette communication où Steeve, membre de ce collectif, analyse ce "fait social total" qu’est le capitalisme en se référant au courant de la "critique de la valeur", à l’anthropologie, à la pensée de la décroissance comme à la réflexion anti-industrielle. En déconstruisant ce qui apparaît à l'opinion commune comme des évidences, ce bel effort de synthèse libère l’imaginaire de l’emprise économique pour envisager la création de nouvelles formes sociales adaptées à l’ère de l’information qui peut et doit aussi être celle des créateurs.
Un nouveau cycle évolutif
L’approche intégrale nous enseigne qu’à chaque stade de développement traversé par les sociétés humaines, il existe une solidarité organique entre conscience, culture et société, c’est-à-dire entre un ordre symbolique (régissant les modes de subjectivation et d’intersubjectivité) et l’organisation humaine (socio-économique et technique) qui lui correspond. Ce système global - conscience/culture/société - se développe à travers le temps selon des niveaux de complexité croissants, non pas de manière linéaire et abstraite mais de façon spiralée et discontinue.
A partir des modèles de développement dont s'inspire la théorie intégrale, on constate, à un stade évolutif donné, l'effondrement du paradigme qui ne peut plus rendre compte de l'émergence d'une plus grande complexité. Un processus de régression tend alors à récapituler les stades antérieurs pour permettre à l'évolution créatrice de les intégrer dans un niveau supérieur à travers des modèles plus inclusifs. A l’entrée dans l’ère de l’information correspond une de ces crises évolutives qui nécessite de dépasser le paradigme abstrait de la modernité. De même que celui-ci a remis en question la pensée mythique propre aux dogmes religieux, nous devons aujourd'hui dépasser l'abstraction propre à la mentalité moderne pour une pensée complexe qui rend compte de l'interdépendance des phénomènes comme de leur appartenance au sein d'un ensemble intégré et de leurs relations au sein de celui-ci.
La vision globale et évolutive propre à cette complexité nécessite le développement d’une intelligence sensible qui participe de manière intuitive et organique à son milieu d’évolution et à ses transformations. Un tel changement de paradigme a des implications dans le domaine de la conscience, de la culture et de la société. Ce sont ces dernières que nous chercherons à explorer ici à travers la réflexion sur la « sortie de l’économie » mené par le collectif Quelques ennemis du meilleur des mondes.
Le pas de côté
La maison d’édition Le Pas de côté participe de cette insurrection des consciences contre le fétichisme de l’abstraction et pour l'affirmation des valeurs de convivialité chère à Ivan Illitch. Cette association dont les éditeurs sont bénévoles propose des ouvrages inspirés par la critique du productivisme et la promotion d’une organisation sociale conviviale fondée sur la simplicité, l’entraide et l’autogestion. Le nom de cette maison fait référence à l’An 01, le fameux film de Gébé et Jacques Doillon où l’on entend le dialogue suivant : « On nous dit le bonheur c’est le progrès, faites un pas en avant. Et c’est le progrès, mais ce n’est jamais le bonheur. Alors si on faisait un pas de côté ? Si on essayait autre chose ? »
On retrouve donc cet esprit du « pas de côté » dans le catalogue de cette jeune maison qui comprend aussi bien les œuvres d’auteurs reconnus (Léon Tolstoï : L’esclavage moderne, Aux travailleurs ; Bernard Charbonneau : Tristes campagne, Le changement ; John Ruskin : Il n’y a de richesse que la vie «Unto this last ») que des ouvrages sur les bienfaits de la vélicopédie, de la décroissance (Vincent Cheynet : Décroissance ou décadence) ou de la simplicité volontaire. La qualité et l’originalité d’une telle initiative éditoriale sont donc à soutenir en commandant ces ouvrages à votre libraire ou à l’éditeur lui-même qui refuse de passer par les mastodontes de la cyber-distribution.
Un ouvrage intitulé Sortir de l’économie a donc toute sa place dans ce catalogue où il est présenté ainsi : " Face à la « crise » omniprésente qui caractérise notre époque, de timides discours indignés préconisent taxation des flux financiers, redistribution fordiste, régulation étatique, relance de la consommation, revenu inconditionnel… Ces bonnes intentions inoffensives nous cantonnent à une remise en cause superficielle des excès du libéralisme et nous maintiennent à perpétuité dans le ventre de la baleine économique. Bien loin de ces atermoiements, quelques ennemis du meilleur des mondes fomentent une critique radicale qui secoue nos esprits endormis, saturés d’économisme. Il ne s’agit pas ici de remplacer une « mauvaise économie » par une « bonne », « alternative », « à visage humain ». Il s’agit d’arrêter de croire à cette religion de l’économie. De sortir de notre condition de rouages mutilés et interdépendants. De gripper la mégamachine qui nous broie...
En 68 il y avait ce tag dans l’amphi de la Sorbonne qui résumait bien toute la perspective de l’économisme révolutionnaire qui voulait simplement un nouveau partage du gâteau, alors que c’est la recette et le cuisinier qu’il fallait défenestrer: « On ne revendiquera rien, on ne demandera rien ! On prendra, on occupera ! » Aujourd’hui ce serait plutôt : « On ne revendiquera rien, on ne demandera rien ! On désamarrera, on s’auto-organisera ! » Il faut faire en sorte que nous n’ayons plus besoin de l’économie dans chacun de nos actes et moments existentiels, et notamment en faisant circuler dans les liens qui nous rassemblent, les réalisations de la vie autrement qu’au travers des catégories du travail, de la valeur et de l’argent. L’idée sera toujours de s’arranger pour avoir le moins possible à faire avec cette machinerie sociale, de sorte que nos vies n’apparaissent plus sur les tableaux de bord des économistes et des gestionnaires. "
Sortir de l’économie ? par Steeve
du collectif Quelques ennemis du meilleur des mondes.
[Dans une société émancipée future] l’économie doit perdre son immanence, son autonomie, qui en faisait proprement une économie ; elle doit être supprimée comme économie. Georg Lukacs, Histoire et conscience de classe.
L’économie c’est le capitalisme
Disons-le tout de go, pour les rédacteurs du bulletin Sortir de l’économie, il n’y a pas de différence entre l’économie et le capitalisme. Aussi, le slogan « sortir de l’économie » est-il à comprendre comme « sortir du capitalisme ». Mais, allez-vous me dire : « Pourquoi avoir choisi ce slogan si, en définitive, c’est la forme de vie capitaliste qui est visée ? » L’identification de ces deux catégories ne serait-elle pas spécieuse ?
Il y aurait ainsi une économie neutre, naturelle, qui aurait toujours existé et une forme perverse de celle-ci qui serait apparue, relativement tardivement, disons vers le XVIème siècle, à savoir le capitalisme. La sortie du capitalisme reviendrait alors, selon cette perspective, à retrouver une économie saine, durable (une économie verte, aujourd’hui dite circulaire), plus juste (avec une meilleure distribution des fruits de la croissance), etc. Il suffirait ainsi, par exemple, de libérer « l’économie réelle » de l’emprise de la méchante finance et des odieux spéculateurs, ou encore de supprimer la propriété privée des moyens de production, pour que nous soyons sauvés de l’effondrement multidimensionnel en cours.
Le problème avec ces approches, c’est qu’elles ne traitent que des symptômes de la crise en cours et non pas la racine du mal : l’économie. Il est d’usage de qualifier ces pseudo-solutions de « critiques tronquées du capitalisme ». Or, poser la question de la sortie de l’économie permet une remise en cause beaucoup radicale de la forme de vie présente, donc une meilleure compréhension de la nature du capitalisme et partant de son abolition.
Pourquoi ne faut-il pas distinguer économie et capitalisme ?
Il y a, au moins, quatre raisons. Une première remarque, est le fait, qu’aujourd’hui, l’usage du terme économie, ou économique, renvoie bien au capitalisme. Ainsi, lorsque les grands médias nous parlent de crise de l’économie ou des acteurs économiques, il faut bien entendu comprendre crise du capitalisme et acteurs du capitalisme ! La crise économique actuelle relève en effet de l’incapacité, ou tout du moins de difficultés toujours plus grandes, pour le capital à se reproduire : il existe des sommes d’argent faramineuses qui ne trouvent plus à s’investir tant les taux de profits sont devenus faibles. C’est donc bien une crise du capitalisme.
Une deuxième remarque, est que la naissance du terme économique, avec l’orthographe que nous lui connaissons aujourd’hui, est attestée dès 1546, c’est-à-dire précisément au moment où se met en place le capitalisme (1). Il s’avère donc que la forme de vie capitaliste et la catégorie économique apparaissent simultanément.
Une troisième remarque, comme le souligne André Gorz, est que capitalisme et économie partagent la même rationalité : à savoir minimiser les coûts et maximiser les gains, rechercher l’efficacité, les gains de profits, etc. « C’est en vain qu’on chercherait à distinguer la rationalité capitaliste de la rationalité économique (2) ». Les deux catégories proposent en effet une vision technicienne du monde occultant toute dimension symbolique, ne s’occupant donc ni de morale, ni a fortiori de bien commun.
P. Lamalattie |
Cette vision de l’homme n’est bien sûr pas neutre, et plusieurs siècles de capitalisme et de discours économiques, ont finalement fait émerger une société dans laquelle les individus sont effectivement devenus étrangers les uns aux autres. Hobbes s’est trompé ! L’anthropologie pessimiste qu’il plaçait à l’origine de la vie sociale est, en fin de compte, notre horizon !
Des esprits critiques, à ce stade, pourront objecter : « Certes, l’invention du mot économique est contemporaine de la mise en place du capitalisme, mais cependant ne faudrait-il pas distinguer la pratique et la conscience de cette pratique ? Autrement dit, tel M. Jourdain qui faisait de la prose sans le savoir, les sociétés précédentes n’avaient-elles pas, de tout temps, une pratique économique sans pour autant en être avisées ? » Eh bien non !
Une invention tardive.
En fait, il n’est pas possible de projeter dans le passé les catégories de pensée qui sont les nôtres aujourd’hui. Pour ne prendre qu’un exemple, il n’est qu’à considérer le concept de nombre qui relève pourtant de la sphère mathématique souvent considérée comme universelle et intemporelle. Eh bien il s’avère que cette catégorie a profondément évolué au cours du temps : les nombres de Pythagore ne sont pas les nombres d’aujourd’hui ! Pour ce dernier, en effet, seuls les nombres, aujourd’hui qualifiés de naturels, avaient droit à ce titre ; un être comme la racine carré de deux ne pouvait briguer cette appellation.
Ainsi, de même qu’il nous est impossible de plaquer notre concept de nombre pour comprendre la philosophie Pythagoricienne, les catégories de pensée de notre époque ne peuvent s’appliquer ipso facto aux réalités sociales et culturelles de tous lieux et de tous temps afin de les saisir et de les comprendre. Bref, il ne faut pas regarder le passé à travers nos lunettes.
Tentatives de définition
Mais qu’en est-il de la catégorie économique ? Une difficulté est qu’il n’existe pas vraiment une définition claire et précise de cette catégorie. Le mot « économie » est un terme polysémique, un mot valise, qui peut désigner plusieurs choses. L’anthropologue Bernard Traimond relève ainsi dans son livre L’économie n’existe pas, 13 sens différents à ce mot selon le contexte dans lequel il est employé. Je prendrai deux définitions.
Une première définition de l’économie est de type « formel ». Il s’agit du caractère logique reliant fin et moyen. L’économie est conçue comme ce qui permet de satisfaire les besoins des hommes dans un contexte de rareté. Il s’agit donc de viser à l’efficacité, d’économiser les ressources et les efforts, en vue de faire face à l’insuffisance des moyens. En anthropologie ce courant de pensée est appelé formalisme. Le problème, avec cette définition, c’est que les sociétés primitives, ne sont pas, le plus souvent, des sociétés de manque et de pénurie mais, bien au contraire, comme l’a montré Marshal Sahlins, des sociétés d’abondance.
Mais qu’en est-il de la catégorie économique ? Une difficulté est qu’il n’existe pas vraiment une définition claire et précise de cette catégorie. Le mot « économie » est un terme polysémique, un mot valise, qui peut désigner plusieurs choses. L’anthropologue Bernard Traimond relève ainsi dans son livre L’économie n’existe pas, 13 sens différents à ce mot selon le contexte dans lequel il est employé. Je prendrai deux définitions.
Une première définition de l’économie est de type « formel ». Il s’agit du caractère logique reliant fin et moyen. L’économie est conçue comme ce qui permet de satisfaire les besoins des hommes dans un contexte de rareté. Il s’agit donc de viser à l’efficacité, d’économiser les ressources et les efforts, en vue de faire face à l’insuffisance des moyens. En anthropologie ce courant de pensée est appelé formalisme. Le problème, avec cette définition, c’est que les sociétés primitives, ne sont pas, le plus souvent, des sociétés de manque et de pénurie mais, bien au contraire, comme l’a montré Marshal Sahlins, des sociétés d’abondance.
Le temps dédié aux activités, disons productives, y est en effet très inférieur au temps que nous, hommes modernes, y consacrons. Disposer de quoi se nourrir, se loger, etc. n’y était pas un problème. On constate même souvent que ces sociétés, en faisant des offrandes aux dieux ou de grandes fêtes collectives, dilapidaient, plus que de raison, une grande quantité de leurs ressources et adoptaient donc un comportement que l’on pourrait qualifier d’anti-économique.
Une deuxième définition, issue du Larousse, est la suivante : « Ensemble des activités d'une collectivité humaine relatives à la production, à la distribution et à la consommation des richesses. » Admettre, selon cette définition, que l’économie a de tout temps existé prête le flanc à, au moins, deux critiques.
La première, c’est que pendant très longtemps les sociétés humaines se sont totalement désintéressées des richesses matérielles. Comme Alain Testart, le démontre avec une érudition impressionnante (5), les sociétés ne sont devenues chrématiques, c'est-à-dire on fait une place à la richesse matérielle, qu’à la toute fin du paléolithique supérieure. Dans ces sociétés, le prix de la fiancée par exemple y était payé en nature, c’est-à-dire que le « marié » devait assurer, pendant toute sa vie, certains services à sa belle-mère, ou autres ayant-droits (c’est typiquement ce qui se passe pour les aborigènes australiens) ; dans les sociétés chrématiques, au contraire, l’usage de monnaies, donc de bien matériels, permettait de se libérer d’une telle contrainte. Mais cela ne survient que tardivement dans l’histoire humaine (6).
La seconde, c’est que la réunification, la combinaison, de ces activités spécifiques en une seule et même unité conceptuelle (l’économie donc) ne va pas de soi (7). En fait, ces activités n’étaient aucunement séparées des autres dimensions de l’existence comme le religieux, les relations de parenté ou des liens diplomatiques avec d’autres peuples. Ainsi pécher un poisson pouvait être également perçu comme un acte religieux mettant l’homme en contact avec certaines forces transcendantes, ou bien la distribution de nourriture était liée aux statuts des individus dans la communauté (chacun recevant une partie de l’animal chassé selon son sexe, sa classe d’âge, etc.).
Les activités des hommes n’étaient pas réduites à leurs seules dimensions matérielles et comptables, mais faisaient un tout à part entière. Il était dès lors impossible d’isoler ces activités et d’y penser « à part », et cela, nous dit Moses Finley, « à cause de la structure même de leur société ».
A suivre…
Notes
(1) Il faut toutefois noter que chez le physiocrate Quesnay, ou encore chez A. Smith, qui sont parmi les premiers à utiliser le vocable économie, la sphère économique n’était pas conçue comme séparée du reste de la société ; elle n’est pas encore autonomisée.
(2) A Gorz, Métamorphose du travail p. 154. (3) (p.118 Ed 1976). (4) (p. 33 Ed 1977).
(5) Dans Avant l’histoire, Ed. Gallimard 2012
(6) Au passage, il est également intéressant de noter que cette considération discrédite toute tentative de retro-projeter une vision de l’économie comme « science des richesses » comme celle-ci était souvent définie vers le XVIIIème siècle.
(7) Sur ce sujet on peut, par exemple, consulter avec profit (sic !) Moses Finley et son Économie antique ou encore J-M. Servet dans Les monnaies du lien.
Ressources
Édition Le pas de côté
Sortir de l’économie Les quatre numéros de la revue en ligne
Sortir de l’économie Quelques ennemis du meilleur des mondes. Le livre
Les Décroisseurs Berrichons
Pour en finir avec l'économie Décroissance et Critique de la Valeur. Serge Latouche et Anselm Jappe
Les Décroisseurs Berrichons
Pour en finir avec l'économie Décroissance et Critique de la Valeur. Serge Latouche et Anselm Jappe
Dans le billet Devoir de Vacance du Journal Intégral, la rubrique Ressources propose une netographie des textes sur la sortie de l'économie et notamment ceux de la "Critique de la valeur".
Dans Le Journal Intégral : Un paradigme post-capitaliste. Le fondamentalisme marchand. Une crise évolutive (2) : sortir de l'économie.
Dans Le Journal Intégral : Un paradigme post-capitaliste. Le fondamentalisme marchand. Une crise évolutive (2) : sortir de l'économie.
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