Tout ce qui n'est pas en train de naître est en train de mourir. Georges Harrison
Dans notre dernier billet, nous évoquions l’ouvrage de Matthieu Ricard, Plaidoyer pour les animaux, où l’auteur nous invite à étendre notre bienveillance à l’ensemble des êtres sensibles, dans l’intérêt des animaux mais aussi des hommes. Une telle vision jette un regard lucide et cru sur la période de Noël qui se réduit trop souvent aujourd’hui à une fête commerciale et gastronomique fondée sur le massacre de sept milliards d'animaux.
Paradoxe : alors que, traditionnellement, ces fêtes célébraient les forces créatrices de la vie et de la nature, elles révèlent aujourd’hui toute la morbidité du délire marchand. Ceci explique pourquoi on peut légitimement ressentir une forme de dégoût et de tristesse devant le spectacle affligeant d'un consumérisme et d'une gloutonnerie qui, l'un et l'autre, rendent compte du vide abyssal de nos sociétés.
Cette folie consumériste nous a fait totalement perdre le sens cosmique d’une réalité à la fois sacrée et symbolique. Depuis la nuit des temps, le solstice d’hiver était l’occasion de célébrer les puissances matricielles de la génération à travers la victoire de la lumière sur les ténèbres qui permettait le renouveau de la vie et l’éclosion cyclique de la nature. La célébration chrétienne de la naissance de l’enfant Jésus s’inscrit dans une longue tradition des cultures archaïques et animistes, polythéistes et païennes, qui faisaient du solstice d’hiver le symbole de cette régénération.
Aujourd’hui, il nous faut réinterpréter la symbolique de Noël à partir du paradigme émergent selon lequel l’être humain évolue à travers une série de stades évolutifs qui sont autant de naissances vers un niveau de plus grande complexité. Dans ce contexte évolutionnaire, les fêtes de Noël sont donc l’occasion de célébrer la puissance créatrice de la vie/esprit et de l’affirmer face aux puissances mortifères de l’entropie. Et pour ce faire, je renouerai avec cette tradition qui fut celles des mythes de la nativité en racontant l’histoire des jumelles de la déesse Kosmos : Intuition et Raison.
Les Fêtes du Solstice
Par-delà la fête chrétienne célébrant la naissance de Jésus, le Divin Enfant, ce que nous fêtons durant la période de Noël, c’est le solstice d’hiver, cette période astronomique où le soleil atteignant son point le plus bas sur l’horizon reste stationnaire pendant quelques jours et où les nuits sont les plus longues avant que les journées ne commencent à s’allonger. Le terme solstice vient d’ailleurs du latin solstitium (de sol, « soleil », et sistere, « s'arrêter, retenir »).
Dès que l'homme commença à cultiver la terre, il suivit attentivement la trajectoire du soleil tout au long de l'année, car c'était de lui que dépendait la nourriture, la chaleur et le bien-être. Le cours des saisons déterminait aussi le moment des fêtes. Depuis la nuit des temps, les rites de remerciements et de sacrifices étaient célébrés dès que le soleil atteignait les points significatifs de son orbite, c'est à dire aux solstices d'été et d'hiver. Les païens célébraient le solstice d’hiver en apportant une bûche de chêne dans la maison, en la bénissant puis en l'allumant avec les restes de la bûche de l'année précédente. En ouvrant la phase ascendante et lumineuse du cycle annuel, le solstice d'hiver est considéré comme celui de la nativité du soleil. Le mot "Noël" viendrait du haut vieux germanique "Neue Helle" qui signifie la nouvelle lumière. ! La réanimation de la lumière équivaut à un renouvellement du monde.
Partout en Europe, des fêtes romaines, germaniques ou celtiques célébraient à travers le solstice d’hiver la renaissance tant attendue de la nature et l'espérance de vie nouvelle symbolisée par le printemps à venir. Comme le rappelle Marc de Smedt dans le Nouvel Observateur : " Noël n'est qu'une adaptation à la nouvelle religion (chrétienne) des fêtes que les Anciens et les Barbares célébraient lors du solstice d'hiver - et il en est de même pour toutes les fêtes chrétiennes, bien que l’Église l'ait très longtemps nié " (23/12/74). En récupérant à son profit ces festivités populaires profondément enracinées dans l’inconscient collectif, le christianisme primitif reniera ses racines, en cachant ou en déformant les cultes qui l'ont précédé et qui lui ont néanmoins apporté la plupart des rites, images et symboles qui maintenant semblent lui appartenir en propre.
Sol Invictus
La fête chrétienne de Noël est un emprunt direct au culte de Mithra, une religion rivale du christianisme. Venu de Perse, le culte de Mithra s'est répandu au IIIe et IVe siècles av. J.-C. Dans l'ancienne religion iranienne, Mithra était le dieu de la lumière, symbole de chasteté et de pureté qui combattait les forces maléfiques. Ce culte présentait de nombreuses similitudes avec des cérémonies et des rites chrétiens. Le 25 décembre, on fêtait, par le sacrifice d'un taureau, le Sol invictus (Soleil invaincu) correspondant à la naissance de ce jeune dieu solaire, qui surgissait d'un rocher ou d'une grotte sous la forme d'un enfant nouveau-né. Au IIe et IIIe siècles av. J. C., son culte fut répandu dans tout l'Empire romain et l'empereur Aurélien en fit même la religion d’état.
Les fidèles de Mithra identifiaient leur dieu avec le soleil et sa naissance tombait le 25 décembre. Ce rituel de la nativité du soleil nous a été décrit par plusieurs auteurs de l’Antiquité. On sait ainsi que les fidèles se retiraient dans des sanctuaires cachés d’où ils sortaient à minuit en criant : "La Vierge a enfanté ! La lumière croît !". La Vierge qui avait ainsi conçu et qui mettait au monde un enfant le 25 décembre, était sans doute la Grande Déesse orientale que les sémites appelaient la Vierge Céleste ou tout simplement la Déesse Céleste. Les Egyptiens représentaient même le soleil nouveau-né par l’image d’un petit enfant.
Comme en bien d'autres occasions, l’Église, après avoir cherché à détruire, a fini par composer. Au départ, son hostilité ne fait aucun doute. N'est-il pas écrit dans le Deutéronome : " Quiconque aura honoré le soleil ou la lune, ou un être dans les cieux, devra être lapidé jusqu'à ce que mort s'ensuive " (XVII, 2-5) ? Si l’Église nia ces origines païennes, elle appela Jésus "Lumière du Monde" ou "Soleil de Justice" en le substituant au Sol Invictus mithriaque.
Le Rituel Marchand
L’histoire des religions ne fait pas exception à la dynamique de l'évolution culturelle qui inclue les modèles dépassés pour les intégrer, à travers un saut évolutif, dans un paradigme d'une plus grande complexité. C'est ainsi que, pour s’implanter, toute nouvelle religion s’empare des rites, images et symboles des anciennes croyances en les réinterprétant à partir d’un nouveau paradigme. C’est ainsi que le monothéisme chrétien a récupéré des éléments animistes, polythéistes et païens en leur donnant une nouvelle interprétation. Ce qui a fait dire au psychiatre Ernst Jones : " On pourrait se demander si le christianisme aurait survécu s'il n'avait pas institué la fête de Noël avec tout ce qu'elle signifie " (Psychanalyse, folklore et religion.)
Comme les chrétiens ont réinterprété les cultes païens, cette nouvelle religion de la modernité qu’est le capitalisme marchand réinterprète le Noël chrétien en le vidant de toute spiritualité manifeste. Marx évoque ce processus en écrivant au sujet de la bourgeoise capitaliste qu'"elle a noyé les frissons sacrés de l'extase religieuse, de l'enthousiasme chevaleresque, de la sensibilité petite-bourgeoise dans les eaux glacés du calcul égoïste."
La nouvelle religion économique investit ainsi les anciennes fêtes chrétiennes en les transformant en rituel marchand. Il faut voir l’hystérie qui s’empare des rues et des magasins durant la période de Noël pour mesurer l’intensité de ce rituel marchand où Homo œconomicus, en transe, se charge de cadeaux comme autant de fétiches censés le libérer de l’angoisse et de l’absurdité d’une vie réduite à la survie économique. Totalement possédé par une logique marchande, Homo œconomicus réduit ces êtres sensibles que sont les animaux à n'être plus que des objets à consommer.
Les fêtes païennes s'inscrivaient dans un milieu cosmique, les célébrations chrétiennes réunissaient le peuple des croyants alors que le rituel marchand se restreint au milieu familial, le seul reconnu par l'homme moderne, c'est à dire le seul dans lequel il peut encore se reconnaître. Devenue fête de famille, Noël réinscrit l'individu abstrait dans un contexte généalogique où il se perçoit comme une expression ponctuelle d'une dynamique transgénérationnelle qui le transcende en donnant un sens à sa vie. L'échange des cadeaux symbolise et célèbre cette communauté originelle qui est celle de l'appartenance à une même lignée unissant les générations à travers leur renouvellement. Dans ce contexte, le sapin de Noël apparaît évidemment comme l'expression symbolique d'un arbre généalogique.
La profondeur de cette dynamique temporelle permet d'affronter la finitude en retrouvant un sens et une sérénité qui compense l'angoisse d'une vie insensée. C'est ainsi qu'à travers le rituel marchand, l'homme moderne se réapproprie le sens originel de Noël comme célébration de la puissance génératrice de la vie. Mais cette dimension lumineuse possède aussi sa face sombre. Les psychothérapeutes sont bien placés pour savoir que ce "rendez-vous généalogique" qu'est devenu Noël réactive une mémoire familiale et transgénérationnelles avec ses conflits, ses traumas et ses secrets qui suscitent angoisses et épisodes dépressifs. A cette occasion, l'individu moderne mesure parfois la solitude d'une existence dont la vie s'est retirée pour revenir le hanter sous la forme réifiée de la marchandise.
Les fêtes païennes s'inscrivaient dans un milieu cosmique, les célébrations chrétiennes réunissaient le peuple des croyants alors que le rituel marchand se restreint au milieu familial, le seul reconnu par l'homme moderne, c'est à dire le seul dans lequel il peut encore se reconnaître. Devenue fête de famille, Noël réinscrit l'individu abstrait dans un contexte généalogique où il se perçoit comme une expression ponctuelle d'une dynamique transgénérationnelle qui le transcende en donnant un sens à sa vie. L'échange des cadeaux symbolise et célèbre cette communauté originelle qui est celle de l'appartenance à une même lignée unissant les générations à travers leur renouvellement. Dans ce contexte, le sapin de Noël apparaît évidemment comme l'expression symbolique d'un arbre généalogique.
La profondeur de cette dynamique temporelle permet d'affronter la finitude en retrouvant un sens et une sérénité qui compense l'angoisse d'une vie insensée. C'est ainsi qu'à travers le rituel marchand, l'homme moderne se réapproprie le sens originel de Noël comme célébration de la puissance génératrice de la vie. Mais cette dimension lumineuse possède aussi sa face sombre. Les psychothérapeutes sont bien placés pour savoir que ce "rendez-vous généalogique" qu'est devenu Noël réactive une mémoire familiale et transgénérationnelles avec ses conflits, ses traumas et ses secrets qui suscitent angoisses et épisodes dépressifs. A cette occasion, l'individu moderne mesure parfois la solitude d'une existence dont la vie s'est retirée pour revenir le hanter sous la forme réifiée de la marchandise.
De l'Astronomie à la Gastronomie
En suivant les diverses étapes qui furent celles des fêtes païennes, des célébrations chrétiennes et des rituels marchands, nous sommes progressivement passés du cosmique au cosmétique et de l'astronomie à une gastronomie qui, trop souvent, dénie la vie au lieu de la célébrer. Pour le dire en terme plus brutal, nous sommes passés de la célébration de la foi et du sacré à celle du foie gras et du sucré. Ce qui en dit long, en passant, sur le clivage régressif de la psyché contemporaine : violence du gavage, côté foie gras, et compulsion infantile, côté sucré.
En suivant les diverses étapes qui furent celles des fêtes païennes, des célébrations chrétiennes et des rituels marchands, nous sommes progressivement passés du cosmique au cosmétique et de l'astronomie à une gastronomie qui, trop souvent, dénie la vie au lieu de la célébrer. Pour le dire en terme plus brutal, nous sommes passés de la célébration de la foi et du sacré à celle du foie gras et du sucré. Ce qui en dit long, en passant, sur le clivage régressif de la psyché contemporaine : violence du gavage, côté foie gras, et compulsion infantile, côté sucré.
Alors que commence un nouveau cycle évolutif marqué par la montée des hérésies contre l'économisme dominant, notre but ici n’est pas de faire œuvre d’historien mais de retrouver le sens originel des fêtes de Noël - par-delà leurs récupérations dogmatiques puis marchandes - afin de célébrer leur dimension sacrée et symbolique.
Ce faisant, il nous faut éviter l'illusion romantique qui consiste à comparer les bons côtés des traditions archaïques et pré-modernes aux mauvais aspects de la modernité. Il ne s'agit pas pour nous d'idéaliser le holisme des civilisations traditionnelles en ignorant toutes les formes d'obscurantisme que celles-ci véhiculaient, ni de nier le mouvement évolutif dont le monothéisme chrétien et la modernité furent le vecteur.
Le nouveau paradigme doit être capable d'associer le meilleur de la tradition- sa dimension organique, holiste et sacrée - avec le meilleur d'une modernité fondée sur les valeurs de la raison, de l'individu et de l'évolution. Cette association aboutit à un modèle de co-évolution entre l'individu et son milieu : la dynamique d'individuation apparaît comme une modalité particulière d'une évolution vers la complexité propre à son milieu cosmique et naturel.
Dans cette perspective, la transformation des fêtes de Noël en rituel marchand signale de manière spectaculaire la façon dont l’abstraction moderne a castré notre sensibilité de son appartenance comique à un milieu à la fois naturel et surnaturel. Aujourd’hui le mal-être collectif exprime le besoin de sentir à nouveau la sève du sens nous relier de manière organique à ce milieu multidimensionnel. Parce qu’il est dépositaire de la mémoire de l’univers et de l’espèce, le Grand Récit de l’Évolution est porteur de ce sens. Cette mémoire commune doit inspirer des récits et des mythes qui mobilisent nos forces et notre imaginaire pour ouvrir un nouveau cycle de l’épopée humaine.
Les Jumelles de la Déesse Kosmos
Raison : Et toi, tu crois à la vie après l’accouchement ?
Intuition : Bien sûr. C’est évident qu’il y une vie après l’accouchement. Si nous sommes ici c’est pour devenir forts et nous préparer à ce qui nous attend après.
R : Je ne suis pas d’accord. Tout ceci n’est pas raisonnable. Je pense qu’il n’y a rien après l’accouchement. Nous retournons au néant dont nous sommes issus. Est-ce que tu peux sincèrement imaginer à quoi une telle vie pourrait ressembler ?
I : Eh bien, je ne connais pas tous les détails. Mais je pressens que, de l’autre côté, il doit y avoir une lumière totalement différente de l’obscurité qui règne ici. Impossible d’imaginer ce que l’on va devenir. Ce que je ressens c’est une longue et lente métamorphose au cours de laquelle nous allons grandir, étapes par étapes, à tel point que chacun de nous restera toujours le même en devenant totalement différent.
R : Balivernes. Ton imagination te joue des tours. Ici nous sommes totalement protégés mais dans un autre environnement nous n'aurions plus les conditions nous permettant de survivre. Il est scientifiquement prouvé qu’aucune métamorphose de ce type n’est possible. Les savants sont unanimes : nous autres, graines de vie, sommes condamnés à vivre sous l’emprise déterminante du hasard et de la nécessité. La seule liberté que nous avons est celle d'être conscient de notre prison.
I : Que tu es borné ! Tu es si aveuglé par ton raisonnement que tu ne peux plus ressentir cette résonance qui connecte chacune de tes cellules au mouvement créateur de la vie qui est celui d’un développement continu. Tiens, imagine que là-bas on ne mangera pas comme ici. On deviendra autonome. On aura un organe dédié à l’alimentation.
R : C’est cela, bien-sûr ! Et on pourra marcher tout seul peut-être ? C’est du grand n’importe quoi ! Nous avons un cordon ombilical qui nous nourrit et c’est bien suffisant. Aucun revenant n’est passé par ici pour témoigner d’une autre réalité. La vie se termine tout simplement par l’accouchement. C’est un peu triste mais c’est ainsi, ne t’en déplaise, espèce d’illuminé.
I : Mais elle est partout ! Elle est autour de nous ! Grâce à elle nous vivons et sans elle nous ne sommes rien.
R : C’est absurde ! Je n’ai jamais vu aucune maman donc c’est évident qu’elle n’existe pas.
I : Tu as tort. Déploie tes antennes. Mets-toi à l’écoute. Parfois lorsque tout devient calme, on peut entendre quand elle chante. On peut sentir quand elle caresse notre monde. Je suis certain que notre vraie vie va commencer après l’accouchement.
R : Quel rêveur tu fais ! Enfin tu es bien sympathique et tes histoires à dormir debout permettent de passer le temps dans cette enceinte sombre et close.
I : En tout cas, moi je me prépare à cette autre forme de vie. Tous les jours que maman fait, je me fortifie et je me développe. J’ai hâte de passer à la prochaine étape. Je sens qu’un autre monde m’attend et je veux être prêt pour cette fabuleuse aventure.
R : Très bien, très bien… Ce sera sans moi. Moi j’en envie de dormir, bien au chaud dans mon bain amniotique. Si tu pars, n’oublie pas de fermer la porte en sortant…
I : Quand la porte s’ouvrira, tu seras aspiré par mon élan, tu sentiras de nouvelles forces t’investir et t’animer. Tu seras très content de sortir toi aussi pour venir me retrouver.
R : C’est cela ! En attendant moi je vais retrouver ma couette amniotique, si douce, si chaleureuse et si visqueuse, en m’alimentant à travers le cordon sur lequel je te demanderai de ne pas trop tirer en partant, merci.
I : Fais attention… Le sommeil de la raison engendre les monstres.
R : Que veux-tu dire par là ?
I : C’était une idée comme cela en passant. Moi, je ressens l'appel de plus en plus pressant du futur. Je sens que je vais bientôt partir, c'est à dire naître.
R : Bon voyage alors et.... Joyeux Noël.
Ressources
Les informations concernant les origines des fêtes de Noël, le Solstice d’Hiver et le culte de Mithra ont été puisées il y a quelques années dans divers sites internet dont j’ai fait une synthèse sans garder les références précises. Il suffit de googliser ces différents termes pour trouver de nombreuses informations les concernant et les développant.
Le dialogue entre les deux jumelles de la Déesse Kosmos est une très libre adaptation personnelle de celui que l'on retrouve sur divers blogs entre Bébé Athée et Bébé Croyant.
Dans Le Journal Intégral : Mourir pour renaître, De la chenille au papillon. Le Grand Récit de l’Évolution
Plaidoyer pour les animaux Matthieu Ricard
Faut-il manger les animaux ? Jonathan Safran Foer
No Steak Aymeric Caron Bidoche Fabrice Nicolino
L'animal est une personne Franz-Olivier Giesbert
La révolution végétarienne Thomas Lepeltier
Sur la violence faite à ces êtres sensibles que sont les animaux :
Plaidoyer pour les animaux Matthieu Ricard
Faut-il manger les animaux ? Jonathan Safran Foer
No Steak Aymeric Caron Bidoche Fabrice Nicolino
L'animal est une personne Franz-Olivier Giesbert
La révolution végétarienne Thomas Lepeltier
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire